Avec l’engagement du grand service public de l’École inclusive, la rentrée 2019 a porté de premières étapes importantes pour l’amélioration de la scolarisation des enfants handicapés, qui sont 60 000 de plus depuis 2017 à avoir franchi les portes de l’école.

Cette ambition a été réaffirmée par le président de la République lors de la Conférence nationale du handicap du 11 février dernier.

Alors que la crise sanitaire a conduit à un contexte inédit de préparation de la rentrée scolaire 2020, le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et la secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées amplifient encore les efforts et les moyens au service des parcours scolaires et d’apprentissage des enfants, avec l’objectif d’en mesurer parallèlement la qualité et l’efficacité.

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  1. Garnacho

    des PIALs qui gèrent des « enveloppes » vides en ressources humaines, des accompagnements mutualisés de plus en plus nombreux (1 seule aesh pour plusieurs enfants en situation de handicap permet de faire « au mieux » avec les enveloppes vides), des enseignants toujours aussi peu formés (combien ont adapté leur enseignement en distantiel -car souvent sans l’aide des aesh-). Bref où est elle l’école inclusive qui devait être une priorité du gouvernement ? Et les aesh sont toujours sans statut, avec un salaire de misère, sans formation (60h pour comprendre l’école de la maternelle au lycée, l’école inclusive, les différents troubles et handicap, l’esprit de la loi de 2005 et de 2013, c’est indigne !) malgré des annonces non honorées. Pourtant, enlevez les aesh des classes et voyez comment l’école s’adapte à la différence…

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