6 associations (APF France handicap, la Confédération syndicale des familles, Emmaüs, Familles rurales, le Secours catholique et UFC-Que Choisir) se sont réunies avec d’autres pour dresser l’état des lieux de la situation de l’inclusion financière dans ses différentes composantes : l’accès aux moyens de paiement et d’inclusion bancaire.

Si des avancées ont été obtenues, beaucoup reste à faire. Les situations des personnes rencontrées par ces grands réseaux sont complexes, et ces mesures, qui ne s’adressent pas à l’ensemble des personnes, ne traitent pas des causes de la fragilité budgétaire et qu’il reste également de nombreux points à améliorer pour une inclusion bancaire de tout et de tous : personnes valides et handicapées, personnes exilées, mineurs non accompagnés, jeunes et en particulier les personnes à faible revenu, les personnes isolées. Il est important de considérer l’accès aux services bancaires et moyens de paiement dans les différents territoires de l’Hexagone et de l’outre mer en regard des besoins des personnes.

Voici donc un manifeste qui fait le constat que l’inclusion financière regroupe de nombreux enjeux du quotidien des personnes vivant en France quelque soit leur nationalité : le compte bancaire indispensable dans la société (pour percevoir ses revenus, payer ses factures, etc.) mais aussi l’accès au conseil pour le crédit et les parmi ainsi que l’accès aux espèces, au microcrédit ou encore à l’éducation financière.

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