Pourquoi le Collectif Handicap 54 ?
Pourquoi le Collectif Handicap 54 ?

Bonjour à toutes et tous,

Ça y est, ce 4 septembre sonne officiellement la fin des vacances. Le port des lunettes de soleil reste de mise, il accompagne le coup de chaud de cette rentrée, qui n’est pas que climatique.

Elizabeth BORNE et Gabriel ATTAL gardent le sourire malgré le concert de casseroles qui les accueille en Ille-et-Vilaine, tentant de rassurer des parents qui manifestent, la marmite pleine de revendications (pénurie de professeurs, polémique vestimentaire, inflation…), à défaut de produits de saison à prix abordables.

Une pensée particulière pour cette jeune génération qui découvre l’école, porteuse à la fois d’espoirs et source d’angoisse. Nous vivons une époque pleine de paradoxes, où les plus belles actions collectives côtoient individualisme et consumérisme effréné, coincés que nous sommes entre désirs à satisfaire à court terme et avenir commun souhaitable.

Les restos du cœur pourraient bientôt mettre  la clé sous la porte, mais les terrasses des restaurants n’ont jamais été (ou est-ce mon impression) aussi pleines…

Aussi, pour clore cette entrée en matière et recentrer sur les sujets qui nous intéressent dans cette newsletter, j’emprunte les mots du regretté Pierre Rabhi :

« Il ne suffit pas de se demander : « Quelle planète laisserons-nous à nos enfants? »; il faut également se poser la question : »Quels enfants laisseront-nous à notre planète? » ».

 

La question se pose justement avec le nouvel appel à témoignage de l’UNAPEI qui tient à mettre en avant la parole d’enfants, parents et accompagnants, pour qui la promesse d’une école inclusive reste un vœux pieux.

 

La santé est sans conteste le bien le plus précieux, même les biens portants vous le diront ! À mi-parcours du PRS 2018-2028, sachant que le Covid est « passé par là » avec son cortège de prises de conscience, de nombreux défis restent à relever. Un webinaire / café pour échanger, c’est le concept proposé ci après.

 

L’honnêteté ne paye pas toujours. La preuve : la franchise pourrait doubler… Avec un risque d’abandon de soins pour les plus précaires.

 

Très engagé entre autres sur la question de la représentativité des PSH dans les mesures qui les concernent, Jérémy BOROY sera à nouveau président du CNCPH, dont la nouvelle composition fera justement honneur à son investissement.

 

« Diagnostiquer, comprendre, adapter : nouveaux éléments de recherche et de prise en charge ». Retour sur une conférence qui éclaircira la question d’un trouble trop longtemps mal défini, et « parent pauvre » de la famille des « Dys ».

 

Le « Quiet time », concept initié en 2017 outre manche, a pour principe de proposer, dans les magasins, des heures adaptées aux sensibilités sensorielles : avec des plages horaires pendant lesquelles on réduit notamment les bruits ainsi que la luminosité dans les rayons. Pourquoi n’y avait-on pas pensé avant ? En tous cas, certaines enseignes du 54 s’y mettent.

 

Sur cette dernière info, je vous quitte sur la pointe des roues… Chut ! Bonne lecture et bonne semaine.

Pour le Collectif Handicap 54,
François JACQUES, Edito

Vincent HAREL, Veille informationnelle


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